« C’est amusant comment la haine peut rendre les gens si subjectifs! Appeler au respect des textes peut ainsi devenir une « exigence capricieuse ». Si vous êtes convaincu que Sonko n’est pas prêt, pourquoi vous n’en profitez pas pour le mettre dans une mauvaise posture en Exigeant que l’assemblée nationale réforme son règlement intérieur? Même s’il n’a aucune obligation de faire sa DPG dans les 3 mois, il ne demande que cela pour s’exécuter.
Abdoul Mbaye, le premier PM de Macky était resté 6 mois 8 jours avant de faire sa DPG là où le règlement intérieur stipulait un délai de 3 mois. Aujourd’hui, vous voulez nous faire croire que c’est la fin de la démocratie parce que Sonko demande que l’assemblée nationale corrige son règlement intérieur afin que sa DPG s’inscrive dans un cadre légal? Rien qu’hier l’APR a violé un texte constitutionnel mais vous ne trouvez rien à y dire.
Vous savez très bien que Sonko peut même improviser une DPG. Dites plutôt que vous cherchez un quelconque prétexte pour lui taper dessus. Vous n’attendez RIEN du Projet ou de Sonko ou de sa DPG.
Vous avez maintes fois prédit avant les élections que le Projet jetterait le Sénégal dans les abysses. Doutez-vous de vos prédictions maintenant? C’est vrai que les prédictions ne semblent pas être votre fort. Qui a écrit un article intitulé « ces choses qui ont perdu Sonko » (ou quelque chose qui lui ressemblait), un article qui déclarait en quelque sorte Sonko mort pour 2024. En Sonko, vous n’avez toujours vu que « quelqu’un qui se croit sorti de la cuisse de Jupiter ».
Du coup, je crains que ça soit plutôt vous qui cherchez un alibi dans la subite « question de survie » qu’est devenue la DPG pour dire tout le mal que vous pensez de Sonko. Comme tous les détracteurs passés et actuels de Sonko vous allez jusqu’à presque supplier Diomaye de vous en débarrasser!
Les gens qui comptaient sur Macky Sall pour se débarrasser de Sonko comptent maintenant sur Diomaye, sa création Totale ! Cela en dit long sur l’ampleur de la victoire de Sonko et combien ses ennemis sont désespérés. »
Ndiack Diop
