L’échec collectif Par Papa S Traoré

Le Sénégal est un pays charmant en diplomatie, mais cultivant d’une majorité populaire de jeunesse activable.

 

Souriant territoire, abritant de gigantesques attractivités. Terre touristique cumulant une variété invariable.

 

Constante région, disposant d’une histoire croisière, située à l’extrême ouest de l’océan Atlantique du continent africain.

 

Zone stratégique, regorgeant d’énormes potentialités de ressources humaines et naturelles. Enchantant plusieurs globalistes et mondialistes.

 

Néanmoins, le capital humain souffre d’une extrême inattention. Aucun projet n’inspire de l’anthropo. Alors, le bilan immatériel est quasiment inexistant.

 

Au pays de la teranga, l’urgence égale négligence à cause d’une médiocratie. Le politisme et la politisation deviennent option de la prise et du maintien du pouvoir.

 

À ce titre, un déséquilibre remarquable issu d’une politique défaillante et appauvrissante, déchaîne toutes les valeurs.

 

Pis, une réduction globale de méritocratie. Le système oligarchique semble être invariable. L’anarchie au coeur du point.

 

La solution semble être introuvable. À Part des solutions inspirées de même alchimie.

 

Au demeurant, le peuple sacré monopolise une valeur ajoutée qui est presque mévente: Il s’agit de la paix et de la stabilité comme le Salut des Messagers.

 

Une dynamique de reconstruction inépuisable, s’est réincarnée, ayant pour but de purifier l’esprit d’un tel pays démocratiquement cimenté.

 

Une telle démocratie façonnée par des prédécesseurs monumentaux qui ont pu œuvrer pour ne germer que des leviers et escaliers.

 

Mais, le nouveau type n’a plus d’espoir à cause des méfaits et régressions orchestrés sur une scène de désenchantement.

 

Depuis la douteuse indépendance jusqu’à l’ère du désespoir, aucun changement, aucune rupture, aucune fracture, à part ratures, brûlures ou blessures.

 

En vérité, nos gouvernants ne font que peindre des insuccès, de recréer des fausses-couches et de feutrer des pages noires.

 

Néanmoins, ils essayent d’harmoniser les chutes pendant que la combinaison d’échecs se transmet de génération en génération.

 

Au finish, Senghor, Diouf, Wade, Sall, Faye, 5 doigts comparables. Quand est-ce qu’on aura un sixième sens incomparable ?

 

Par Papa S Traoré

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