L’avenir du monde semble être en sépulture.

Le futur proche atteste une chute de prédestination des initiés, partisans soumis de l’anthropocentrisme.

Pourtant, beaucoup de vaillants voyants ont pu illuminer le monde à travers des codes, des chiffres et signaux.

À ce titre, une idéologie dictatoriale serait mise en globe oculaire, contenant des continents artificiels, envahis par des êtres plus que transcendants.

Or, une sphère plus qu’imparfaite est en train de s’évoluer dans un monde quasiment archaïque. Un monde déjà mis en apostrophe.

Suite des trafics, un mystère s’est réincarné, ayant pour mission de déphaser toute procédure d’humanisation déjà établie.

Cela étant dit, tous les progrès centrés sur l’humain connaîtront un déphasage. La tendance sera robotisée.

Et tout cela va plutôt influer sur les projets innovants qui promeuvent le capital humain ainsi que les ressources humaines.

En vérité, le scientisme progresse en mode rythmique sans aucune base arithmétique.

L’humain n’est plus au socle des intérêts capitaux, mais esclave affectif de toute méthode objective ou démarche déductive.

Ce dernier se dévalorise en valorisant la robotique et l’IA, espérant une opération automatique satisfaisante des services procéduraux.

Dans cette même dynamique, la mesure de toute chose immortalise ses maths pour ne se soumettre qu’au dogme des propagandistes, oubliant qu’il est par essence, le schéma-directeur de l’hypothético-déductive.

Comme énoncé dans la réflexion d’un célèbre Philosophe, en l’occurrence, Protagoras :

«L’homme est la mesure de toute chose ».

Mais, au 21e siècle, l’homo sapiens n’est plus la mesure de toute chose, au contraire, il s’est transformé en objet de toute chose, exportant ainsi sa méta dans les signaux physiques.

C’est l’ère des scientistes novateurs qui conçoivent le monde comme une corbeille de fruits. C’est le régime des délinquants de la priorité humaine.

Ces deniers ont éclipsé  »l’inteligencia humana » , en transformant la valeur humaine en valeur surhumaine.

Une telle secte s’endette minutieusement pour ne propulser que l’inimaginable de l’imaginable. Mais, au demeurant, elle est englobée dans un système mafieux, managé par des invisibles indivisibles.

À cet égard, le système-monde connaîtra une rupture transitive de l’humain à la robotique sous l’effet de l’IA, qui, depuis le premier siècle avant notre ère, l’homme s’est penché sur la création de machines capables d’imiter le raisonnement humain.

Pourquoi parle-t-on de l’intelligence artificielle à l’heure actuelle ?

Pourtant, le terme intelligence artificielle a été créé plus récemment en 1995, par John Mc Carthy.

En 2025, les contemporains révisent le terme (IA), faisant croire que cela doit impliquer une nouvelle révélation qui pourrait changer le système monde.

C’est un programme présumé de déshumanisation qui aurait accouché un bouleversement dans le contexte où le monde souffre de dérives sectaires.

Ce rêve crucial est à l’heure actuelle une triste réalité bouleversant les adeptes cartésiens.

L’humanisme a quasiment perdu son effervescence, de surcroît sa posture anthropocentrique.

À cet effet, des conséquences seront nécessaires :

– Un régime robotique à la place d’adamique.

– Obsolescence de certains métiers contemporains.

– Risque de révolution des robots en cas d’échec d’objectif.

– Dévalorisation des connaissances empiriques, de l’essence et de la quintessence.

– Déshumanisation absolue

Aucune solution n’est disponible pour l’instant. Il n’y a que la maîtrise et l’adaptation du fléau comme élément de réponse.

 Par Papa S Traoré Journaliste chroniqueur