A Ibrahima Nour Eddine Diagne Je me permets juste d’y ajouter
- Qu’il faut enlever les conseillers associés (en réalité les Conseillers sont au nombre de 80 élus pour un mandat de 5 ans renouvelable une fois, les 40 autres sont des conseillers, désignés pour un an renouvelable autant de fois que voulues). Ces conseillers associés étaient choisis sur des thématiques précises en fonction des sessions. Aujourd’hui, le CESE a la possibilité de faire appel à tout expert extérieur. Nous l’avions fait avec vous @~Ibrahima Diagne sur plusieurs thématiques. Donc, il est possible de diminuer le nombre de conseillers.
- En plus d’être « l’organisateur et le professionnel des dialogues économiques, sociaux et environnementaux », le CESE doit lui-même dialoguer avec l’Assemblée nationale, lieu par excellence, des autorisations budgétaires. Il faut aussitôt créer un pont entre le CESE qui réfléchit sur l’efficacité des politiques publiques et l’assemblée nationale qui donne les ressources pour financer les politiques publiques. Ce dialogue des institutions n’existe pas alors qu’il est nécessaire.
- Il faut rendre systématique, l’évaluation et le suivi des avis du CESE. Plusieurs problématiques sont débattus et des solutions durables sont souvent proposées par le CESE malheureusement, elles ne sont pas suivi d’effet
- Il faut vulgariser les avis du CESE pour rendre visible le travail des Conseillers et non mettre l´accent sur la personne du Président ou de la Présidente, qui en réalité, n’est pas membre du CESE.
- Il faut rendre obligatoire la présence des conseillers durant les travaux en Commission et la conditionner aux indemnités.
- L’idée des chambres est intéressante mais, je pense qu’il faut réduire le nombre de commissions et recalibrer les compétences et leurs dénominations. Il est bien possible de regrouper les Commissions et de les confier des questions nouvelles liées à la Refondation, la souveraineté, la redevabilité et la prospective
Birahime Seck, ancien membre du CESE
Merci au Doyen @~Ibrahima Diagne