Toutes les victimes de «tortures, d’arrestations arbitraires, de séquestration et de traitement inhumains et dégradants» par la police, sous le magistère d’Antoine Diome au ministère de l’intérieur, sont priés de se rapprocher des sièges de FRAPP et d’Amnisty International pour le recueil et la confection des plaintes contre «Antoine Diome et ses complices dans la hiérarchie policière», renseigne une note.

Aussi, selon Vox populi qui partage l’info, les parents et les proches des victimes assassinées lors de manifestations sont priés de se rapprocher de ces organisations pour des plaintes individuelles et collectives contre «Antoine Diome».

La note souligne ainsi qu’ à ce jour «plus de 200 plaintes collectives et individuelles sont déjà enregistrées» et sont «destinées à des juridictions étrangères, notamment en France, en Suisse, en Belgique, en Allemagne et aux Pays-Bas au nom de la compétence universelle en matière de droit pénale», précise-t-elle.